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L' OBSERVATION de la FAUNE de MONTAGNE

Toutes les photographies illustrant ce site ont été réalisées dans la nature sur des animaux vivant en totale liberté.

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     De par le milieu dans lequel elle évolue, de par sa discrétion, de par sa "sauvagerie", de par son isolement et de par la diversité des espèces, la faune de montagne est sans aucun doute l'une des plus intéressante à observer.

Le milieu dans lequel évolue cette faune est certainement l'un des plus variés mais également des plus difficiles d'accès. Une bonne connaissance de ce milieu est nécessaire et même impérative. Car pour se rendre sur les zones d'observation, le dénivelé à parcourir est souvent important et le terrain sur lequel on évolue, accidenté. De plus, les conditions climatiques sont parfois défavorables (principalement en hiver lorsque la neige recouvre le sol et que les températures descendent fréquemment en dessous de zéro) mais surtout changeantes (en montagne le temps peut changer très vite, on peut très bien partir le matin avec un soleil magnifique et terminer la journée sous un orage).

Si le milieu montagnard est particulier, la faune qui y évolue, l'est également.

Sa première particularité est que celle-ci est présente toute l'année, à l'exception peut-être de certaines espèces de passereaux qui, en hiver, migrent vers d'autres cieux.

La seconde particularité est, que du fait de la difficulté d'accès, la faune de montagne évolue dans un milieu relativement isolé. En effet en dehors des sites touristiques, énormément fréquentés, il reste encore en montagne des secteurs où la présence de l'homme est peu ou pratiquement inexistante.

Enfin la faune de montagne est relativement farouche et méfiante envers l'homme (à l'exception peut être du Bouquetin) car elle a été pendant longtemps, et encore aujourd'hui, chassée en dehors des zones protégées.

Il n'en reste pas moins que la recherche et l'observation de la faune de montagne est une activité de nature vraiment passionnante.

Mais avant de se lancer dans cette activité, il est nécessaire d'acquérir un minimum de connaissances sur le mode de vie des animaux que l'on veut o

bserver. Quels biotopes fréquentent-ils?, quelles sont leurs mœurs?, quels sont les indices révélateurs de leur présence? De nombreux ouvrages traitant ces sujets (voir bibliographie) peuvent aider le débutant dans cette recherche de connaissance. Une fois les notions de base acquises c'est sur le terrain avec beaucoup de précautions, qu'il faudra se faire sa propre expérience.

Par contre l'observation de cette faune doit être réalisée en respectant les règles de protection de la vie animale. En aucun cas la présence humaine ne doit être une gêne pour la survie de cette faune

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Un autre point également important dont il faudra tenir compte dans ce genre d'observations, c'est qu'il n'existe aucune règle définie par avance et avec exactitude. En effet de nombreux facteurs peuvent influencer les recherches et les observations.

En premier lieu les réactions des animaux, celles-ci sont très variables d'une région à l'autre, d'une période de l'année à l'autre (cycle biologique des animaux, conditions climatiques), d'une espèce à l'autre et même d'un individu à un autre à l'intérieur d'une même espèce.

En second lieu, suivant la technique d'observation utilisée (affût ou approche) les réactions des animaux sont également différentes.

En dernier lieu, il y a également un facteur qui n'est pas à négliger c'est le facteur "chance". 

  Suivant la région et la pression cynégétique

Il y a de grandes différences de réaction des animaux vis-à-vis de l'homme suivant que l'on se trouve dans une région ou la pression de la chasse est importante ou bien dans une région protégée depuis quelques années ou encore mieux depuis plus d'un demi-siècle.

  Suivant l'époque de l'année en fonction du cycle biologique des animaux

L'époque de reproduction qui diffère selon les espèces (à l'automne pour certaines espèces ou au printemps pour d'autres), est précédée d'une période durant laquelle les animaux ont tendance à perdre de leur prudence vis-à-vis de l'homme mais également vis-à-vis de ses prédateurs naturels.

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Cette perte de méfiance se concrétise souvent par une diminution significative de la distance de fuite. C'est le cas durant l'époque du rut chez les grands mammifères ou il n'est pas rare, si les précautions d'approche sont bien respectées, d'approcher certaines espèces comme le chamois ou le mouflon à moins de 20 mètres. Cette perte de méfiance envers l'homme se rencontre également chez d'autres espèces comme le Tétras lyre dont l'observation est impossible en dehors de la période de reproduction.

 

  Suivant l'époque de l'année en fonction des conditions climatiques

Lorsque les conditions climatiques sont vraiment défavorables (mauvais temps, neige, brouillard, vent .......), les animaux ont tendance à réagir de façon négative. Ils sont en permanence sur le qui-vive et à la moindre alerte ils prennent la fuite.

  Suivant les espèces

Si l'observation du Tétras lyre est impossible à réaliser en dehors de la période de reproduction ou celle du Lièvre variable en dehors de l'hiver lorsque la neige fraîche recouvre le sol (le facteur chance n'étant pas à exclure en dehors de ces périodes) ou celle de la Marmotte qui passant plus de la moitié de sa vie sous terre ne sera réalisable que du printemps à l'automne, la majorité des autres espèces est observable toute l'année avec plus ou moins de succès selon les saisons.

     En ce qui concerne les Oiseaux, il est bien évident que la meilleure période d'observation est l'époque du nourrissage, mais avec énormément de précautions, car il ne faut que les adultes abandonne le nid, et une bonne paire de jumelles on peut faire de très nombreuses observations aussi bien de passereaux que de rapaces. 

    Pour les Mammifères, Mouflon, Chamois et Bouquetin, la meilleure période d'observation est l'époque du rut. Car à cette époque les animaux ont l'esprit occupé par leur ardeur amoureuse et perdent ainsi pas mal de leur prudence. De ce fait leur observation en est facilitée.

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        Quelques Infos sur le Mouflon :

Biotope : Sa présence est plutôt liée à la forêt bien que durant la belle saison on puisse le rencontrer au-delà de la limite supérieure de la forêt. Par contre en hiver lorsque la neige recouvre le sol il va nettement descendre en altitude pour rechercher les zones peu enneigées.

Mœurs et habitudes : Le rut a lieu à l'automne entre octobre et novembre. Celui-ci est assez violent, les mâles à une certaine distance les uns des autres prennent leur élan et se jettent violemment tête contre tête. Les naissances ont lieu au mois d'avril. C'est la première des trois espèces à mettre bas.

Indices de présence : Crottes, touffes de poils de la mue printanière. En hiver traces de passage dans la neige.

        Quelques Infos sur le Chamois :                             

Biotope : En hiver, plus à l'aise que le mouflon sur la neige, le Chamois va plutôt se localiser dans la zone forestière en recherchant les endroits escarpés ou la neige ne tient pas ou bien les couloirs d'avalanche purgés de leur neige. Puis au fur et à mesure que la neige fond celui-ci va remonter pour se localiser durant la belle saison vers les zones d'altitude mais toujours avec la présence de pelouses alpines. 

Mœurs et habitudes : Le rut du Chamois a lieu à l'automne vers le mois de novembre. Celui-ci est beaucoup moins violent que celui du Mouflon, il se caractérise principalement par de folles poursuites entre mâles, durant lesquelles le mâle dominant essaye d'éloigner les autres mâles. Les naissances ont lieu au mois de juin en des lieux très isolés et inaccessibles de la montagne.

Indices de présence : Crottes, touffes de poils de la mue printanière. En hiver traces de passage dans la neige.

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        Quelques Infos sur le Bouquetin :

Biotope : le Bouquetin est le troisième grand mammifère présent en montagne. Même si en hiver il a tendance à descendre en altitude son biotope reste localisé au-dessus de la limite supérieure de la forêt. Il est assez rare de le rencontrer dans la zone forestière sauf cas de force majeure (chutes de neige très importantes). Lorsque revient la belle saison il va se localiser haute en altitude, à la limite des pelouses alpines et des barres rocheuses escarpées ou il peut trouver refuge à la moindre alerte.

Mœurs et habitudes : Le rut du Bouquetin a lieu à l'automne vers le mois de décembre. Celui-ci est beaucoup moins violent que celui du Mouflon, les mâles s'affrontent en se dressant sur leurs pattes arrières et en se jetant tête contre tête, le mâle dominant essayant d'éloigner les autres mâles. Les naissances ont lieu au mois de juillet en des lieux très isolés et inaccessibles de la montagne.

Indices de présence : Crottes, touffes de poils de la mue printanière. En hiver traces de passage dans la neige.

        

 

Le Lagopède fait parti des animaux de montagne dont la recherche et l'observation sont possibles tout au long de l'année. Les deux meilleures saisons pour le découvrir étant le printemps et l'hiver. En effet au printemps, même si les couples restent formés d'une année sur l'autre, il existe chez le Lagopède, une activité amoureuse sous forme de parades nuptiales durant les quelles le mâle effectue un semblant de danse, comme chez le tétras lyre, mais beaucoup moins exubérante. L'autre saison est l'hiver, même si pour l'humain que nous sommes les déplacements sont parfois pénibles, les traces que laisse le Lagopède sur la neige lors de ses déplacements sont la preuve de sa présence. Et dans les deux cas avec une bonne paire de jumelles leur découverte en est facilitée.

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Quelques Infos sur le Lagopède:                         

Biotope : Fréquente les pelouses alpines avec présence de dalles rocheuses ainsi que des blocs rocheux sous lesquels il peut s'abriter.

Mœurs et habitudes : Au printemps formation des couples avec des parades nuptiales. Après les naissances les adultes et les jeunes forment de petites compagnies qui restent compactes jusqu'au printemps prochain. En hiver, parfois il peut y avoir regroupement de plusieurs compagnies. Une première particularité du Lagopède est que pour un oiseau le vol est très peu utilisé, la majorité des déplacements sont effectués en piétant. Une autre particularité de cet animal est qu'en hiver en période de mauvais temps il se protège dans des loges soit en creusant la neige d'après certains spécialistes, soit en se laissant recouvrir par la neige pour d'autres. Nombreuses mues échelonnées tout au long de l'année (plumage de gris à brun en été, mitigé aux intersaisons et blanc en hiver).

Indices de présence : Présence d'amas de crottes, restes des déjections que les oiseaux déposent au fond de leurs loges hivernales qui au printemps au moment de la fonte des neiges se retrouvent posés sur la neige. Présence de plumes suite aux mues successives ainsi que de crottes isolées que le lagopède génère lorsqu'il piète à la recherche de sa nourriture. Par temps de brouillard, on peut parfois entendre son cri, genre de son guttural caractéristique de l'espèce.

Ici il y a un plug-in pour écouter le son du lagopède

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        Un autre animal qui est observable tout au long de l'année est l'Hermine. N'ayant pas de mœurs vraiment particulières sa découverte est souvent due au fait du hasard et il n'est pas rare que lors de sorties d'observation au Lagopède ou au Lièvre variable on passe un peu de temps en compagnie d'une Hermine.

        Quelques Infos sur l'Hermine:

Biotope :  Le biotope de l'Hermine est très étendu mais reste quand même localisé au dessus de la limite supérieure de la forêt.

Mœurs et habitudes : L'hermine est classée comme animal ayant des mœurs nocturnes, mais il n'est pas rare de la rencontrer en train de rechercher sa nourriture en pleine journée. Une des particularités de l'Hermine est qu'on peut la rencontrer souvent près de secteurs fréquentés par l'homme (abords de refuge de montagne par exemple).     

Nombreuses mues échelonnées tout au long de l'année (pelage dos brun foncé, ventre jaunâtre en été, mitigé aux intersaisons et blanc en hiver à l'exception de l'extrémité de la queue qui reste noire en toutes saisons).

Indices de présence : En dehors des traces qu'elle laisse sur la neige en hiver aucun autre indice ne laisse supposer de sa présence en dehors de cette période. Sa découverte et son observation ne sont souvent dues qu'au fait du hasard.

 

    Par contre, pour le Lièvre variable, la meilleure période de l'année pour l'observer est l'hiver lorsque la neige fraîche recouvre le sol. A cette époque les traces qu'il laisse sur la neige lors du retour de ses sorties nocturnes pour monter se gîter en altitude sont la preuve évidente de sa présence. En les suivant elles nous mèneront assez souvent à un "blanchon" gîté à l'abri d'un rocher. Ces recherches sont souvent pénibles, car se déplacer en plein hiver sur la neige n'est pas pour nous simple humain vraiment facile. En plus ce n'est pas tout de découvrir un blanchon gîté, encore faut-il pouvoir l'approcher car à cette époque de l'année la neige a tendance à niveler le terrain et de ce fait il n'est pas évident de se cacher afin d'effectuer une approche discrète.

        Quelques Infos sur le Lièvre variable :

Biotope : En été, principalement pelouses alpines avec des éboulis qui vont lui procurer le gîte durant la journée. En hiver certains individus peuvent parfois se rencontrer en forêt.

Mœurs et habitudes : Mœurs principalement nocturnes pour la recherche de nourriture. Nombreuses mues échelonnées tout au long de l'année (pelage de gris à brun en été, mitigé aux inter-saisons et blanc en hiver à l'exception de l'extrémité des oreilles qui reste noire en toutes saisons).

Indices : En hiver : traces sur la neige laissées lors de ces déplacements.

 

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      Un autre animal emblématique de la montagne est la Marmotte. Celle-ci présente la particularité de passer plus de 50% de sa vie sous terre, elle ne sera observable que du mois d'avril à l'automne. Mais la meilleure période pour observer la marmotte est l'époque où les jeunes Marmottons sortent pour la première fois de leur terrier. A cette époque ils sont relativement inconscients des dangers qu'ils courent face à leurs prédateurs (Aigle royal, renard) à qui ils payent un lourd tribu. Au premières sorties les jeunes marmottons se livrent à des multitudes de jeux qui font la joie des observateurs.

        Quelques Infos sur la Marmotte :

Biotope : Pelouses alpines

Mœurs et habitudes : Hiberne de novembre à avril

Indices : Terriers, cris

 

    Quant au Tétras lyre, la seule possibilité d'observation est la période des parades nuptiales qui se déroulent durant le mois de mai au lever du jour en des lieux bien définis de la montagne appelés "place de chant". Pour observer le Tétras lyre il faut donc dans un premier temps découvrir une "place de chant". Une fois la place de chant découverte il n'y a plus qu'à.... Avec un bon affût (naturel ou artificiel), un moral d'acier, car il faut se déplacer en pleine nuit au mois de mai à 2200 m, on peut vivre des moments intenses de la vie animale et assister à un des plus beaux spectacles que la nature puisse nous offrir.

        Quelques Infos sur le Tétras lyre:

Biotope : Passe la majorité de son temps en forêt. Par contre les places de chant se localisent plutôt à la limite supérieure de la forêt, bien que ce ne soit pas une règle immuable.

Mœurs et habitudes : Les oiseaux ont pour habitude de se rassembler au printemps en des lieux bien définis de la montagne. Ces lieux de rassemblement (place de chant) sont toujours les mêmes d'une année sur l'autre.

Indices : Au printemps : Amas de crottes posés sur la neige. En fait ces amas de crottes sont les excréments que le Tétras lyre dépose au fond de ses loges d'hiver et qui au printemps lors de la fonte des neiges restent posés sur la neige. 

Traces de piétage, plumes et crottes que laisse sur la neige le Tétras lyre lors de ses parades nuptiales.

Chant d'amour du Tétras lyre lors des parades nuptiales .

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Suivant la Technique d'Observation (affût ou approche)

 L’affût et l’approche sont les deux techniques couramment utilisées en observation ou photographie animalière en montagne.

Chacune de ces techniques a ses avantages et ses inconvénients.

Il n’empêche quand même que pour certaines espèces il n’y aura qu’une seule technique qui pourra être utilisée.

En effet, pour l’observation des oiseaux au nid, pour l’observation du Tétras lyre lors de ses parades nuptiales ou éventuellement pour l’observation de la Marmotte c’est la technique de l’affût qui devra être utilisé.

Par contre pour d’autres espèces comme le Chamois, le Bouquetin ou le Mouflon, mais également pour le Lièvre variable, le Lagopède ou l’Hermine c'est principalement à l'approche que l'on pourra les observer.

Pour certaines autres espèces comme les grands mammifères les deux techniques peuvent être utilisées et parfois mixées entre elles. En effet, une fois arrivé dans une zone fréquentée par des animaux on peut approcher à couvert puis se mettre à l’affût contre un arbre ou un rocher protégé par un filet de camouflage.

     Le facteur chance :

Ce facteur n'est effectivement pas à négliger et rentre quand même pour une part importante dans la découverte des certains animaux. Par exemple, lorsque l'on cherche le Lièvre variable on a une chance sur deux de le trouver gîté à l'abri d'un rocher, la malchance c'est qu'il soit rentré sous le rocher. Pour le lagopède c'est exactement pareil, car confiant dans son mimétisme, on peut très bien passer à coté d'une compagnie sans qu'aucun individu ne se manifeste. Lorsque j'ai photographié la Chouette de Tengmalm, je ne connaissais absolument pas cet oiseau et c'est par hasard lors d'une sortie en forêt que je l'ai découverte et photographiée. (Voir anecdotes).

                                                                                                                     

 En Conclusion :

L'Observation et la Photographie de la Faune de Montagne sont sans aucun doute parmi les activités les plus sportives mais également les plus diversifiées en fonction des paysages dans lesquels on évolue, ainsi que par rapport aux espèces que l'on peut y rencontrer.

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